500 km, 5 jours, 12 facteurs : le défi vélo de La Poste pour une route plus sûre

À l’occasion de Mai à Vélo, La Poste organise un relais cycliste entre Paris et Strasbourg, réunissant 12 facteurs ambassadeurs du partage apaisé de la route.

Premier employeur cycliste d’Europe, La Poste entend bien le faire savoir. À l’occasion de l’opération nationale Mai à Vélo, le groupe public lance un défi inédit : un relais cycliste de 500 km entre Paris et Strasbourg, mené par 12 factrices et facteurs venus de toute la France. Un parcours de cinq jours, à vélo à assistance électrique, pour incarner la transition vers des mobilités douces… et parler sécurité.

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Un message fort en faveur du partage de la route

Ambassadeurs du quotidien, les facteurs à vélo sont en première ligne lorsqu’il s’agit de cohabitation avec les automobilistes, piétons ou autres cyclistes. En organisant ce relais symbolique, La Poste souhaite rappeler quelques règles de bon sens et défendre une route apaisée. « Je vous invite à respecter rigoureusement ces règles de sécurité pour vivre comme moi votre passion du vélo », déclare Laurent Jalabert, parrain de l’opération.

La caravane fera étape dans plusieurs villes pour rencontrer élus, associations, citoyens et collaborateurs. L’objectif ? Promouvoir les bienfaits du vélo, mais aussi recueillir les attentes de terrain. En lien avec la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), le relais s’inscrit dans une dynamique plus large de sensibilisation et d’écoute.

Une entreprise pionnière du vélo au quotidien

Avec 8 000 tournées à vélo chaque jour, soit 3,5 fois le tour du monde, La Poste revendique le titre de première entreprise cycliste d’Europe. Depuis 150 ans, elle fait du vélo un outil de travail aussi fiable qu’écologique. En soutenant la FUB et son Baromètre vélo 2025 – la plus grande enquête citoyenne vélo au monde –, le groupe renforce son rôle d’acteur engagé dans la transition et la sécurité.

« Sécuriser et améliorer les conditions de circulation est un enjeu partagé », rappelle La Poste dans son communiqué. Et si les tournées de facteur devenaient le symbole d’une autre manière de penser la route ?