Ce pantalon fabriqué en France est le compagnon idéal du vélotaffeur

Traajet pantalon vélo

Source : Traajet

Conçu par un entrepreneur rennais, le pantalon de Traajet est pensé pour éviter les frottements spécifiques au vélo, résistant et souple, tout en étant made in France.

S’équiper pour faire du vélo électrique n’est pas synonyme d’épouvantail jaune fluo ou d’un attirail sportif. Les marques rivalisent avec des produits civilisés comme le jean DU/ER, dont la firme rennaise Traajet fondée par Alexis Avenel est un autre exemple, ayant développé un pantalon spécifique pour le cycle, le Pantaalon.

Au premier regard, on ne perçoit pas le Pantaalon comme un vêtement de vélo, et c’est bien le but. Avec son allure de chino classique, il est réalisé en polyamide dont à 45% de “Cordura” pour une belle polyvalence d’usage entre de la ville au VTTAE, avec un renforcement à l’entrejambe pour limiter l’usure liée au frottement de la selle.

Un pantalon vélo résistant, polyvalent et fabriqué en France

Taille haute, il évite de montrer son creux de reins et le petit filet d’air associé. La densité faible le rend aussi utilisable par temps chaud, et sa surface déperlante convient aux pluies faibles (sans être toutefois imperméable). Dans ses poches arrière, il loge des rabats jaune fluo réfléchissants, d’autres venant serrer les chevilles pour limiter les frottements avec le pédalier ou la chaîne.

Et ce pantalon est presque 100 % français, avec pour seule origine étrangère le tissage (Italie et Israël).  Les premières pièces devant démarrer en septembre ont finalement quitté l’atelier fin décembre 2023.

Une origine qui n’est toutefois pas sans affecter le prix de ce Traajet Pantaalon. Au départ vendu 160 € en précommandes sur la plateforme Ulule, il grimpe désormais à 200 €. Ce pantalon vélo est disponible en six tailles, deux longueurs de jambes, mais seulement en noir.

 

 

Matthieu Lauraux
Matthieu Lauraux

Journaliste, essayeur

Au guidon de vélos depuis son enfance, vélotaffeur de longue date et voulant promouvoir des déplacements plus propres, Matthieu est un éternel curieux, avide de tester les nouveaux produits de mobilité urbaine,


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Commentaires

2 Commentaires
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Toto
4 mois il y a

200 euros, un succès en perspective.

4 mois il y a
Reply to  Toto

Merci pour ce bel article Clean rider ! 🙂