Stylé, lumineux, français et pas cher : le casque vélo Ekoï assure !

Casque vélo Ekoi Start City Line

Le premier casque vélo urbain de la marque française, le Ekoï Start City Line veut apporter un peu de gaieté au guidon avec un éclairage arrière pour plus de sécurité, le tout à prix doux.

Cette rentrée 2024 est peut-être votre première sous le signe du vélotaf. A moins que vous soyez déjà pratiquant et souhaitez remplacer votre vieux casque vélo (il est recommandé de ne pas excéder 5 ans après la fabrication). Rejoignant les innombrables marques, la française Ekoï lance son premier modèle urbain, le Start City Line, nous révèle Transition Vélo. Contrairement à ce que prétend la firme, ce n’est pas un premier essai, si l’on considère le City E+ de 2008, dérivant de la course, mais avec une visière… et une bande simili-cuir.  le casque sur site Ekoi

Un premier essai lumineux pour Ekoï

Différent, ce nouveau casque vélo est de type bol. Conçu pour les cyclistes urbains, il dispose de 12 ventilations pour laisser respirer la tête et d’une petite casquette à l’avant. Côté confort, des mousses 3 et 6 mm sont incluses, y compris sur le serrage arrière. Ce dernier se dote aussi d’une grande molette accessible avec des gants.

Un casque vélo LED à moins de 50 €

L’Ekoï Start City Line ajoute une lumière arrière, de 30 lumens, suffisante pour une visibilité à 300 mètres. Ce feu possède trois modes : balayage, clignotant et fixe, modifiant l’autonomie de 10 à 3 heures. La petite batterie interne est rechargeable par câble USB-C, fourni à l’achat. Cela vient toutefois pénaliser le poids, indiqué à 436 grammes.

Pour compléter ce casque vélo, Ekoï propose un bonnet en option. Cette solution est conçue pour des températures sous 10°C, tout en restant respirante et aux passe-sangles. Ce bonnet coûte 19,99 €, à ajouter au prix du casque Ekoï Start City Line actuellement à 49,99 €, en taille unique M/L (55-61 cm).

Trois coloris sont toutefois au choix : noir et blanc à motif noir ou gris. Ce motif urbain aux divers monuments – dont ceux de Paris – donne ainsi son nom au casque : “City Line”.

Matthieu Lauraux
Matthieu Lauraux

Journaliste, essayeur

Au guidon de vélos depuis son enfance, vélotaffeur de longue date et voulant promouvoir des déplacements plus propres, Matthieu est un éternel curieux, avide de tester les nouveaux produits de mobilité urbaine,


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