Test Xiaomi Electric Scooter 4 Ultra : une trottinette électrique ultra confortable, ultra endurante et ultra stable

Xiaomi Electric Scooter 4 Ultra

Plus performante, plus endurante et procurant un meilleur confort d’utilisation, la trottinette électrique Xiaomi Ultra 4 semble être la réponse aux utilisateurs les plus exigeants. C’est tout du moins ce que laisse penser la fiche technique de ce modèle haut de gamme, mais est-ce vraiment le cas ? Nous avons voulu vérifier.

En France, Xiaomi a rapidement su se faire une place dans le domaine des trottinettes électriques en proposant une vaste gamme de modèles abordables. Rapidement, celles-ci ont occupé une place importante sur le secteur des mobilités douces. Plusieurs générations de produits ont permis au constructeur chinois d’affiner sa recette, opérant de-ci de-là des améliorations (souvent discrètes) et ainsi réaliser au fil des séries une montée en gamme. Pour autant, il manquait encore un modèle plus sérieux, plus polyvalent, capable de répondre à la demande d’utilisateurs qui roulent beaucoup. Ou en tout cas pour qui la trottinette est un véritable moyen de locomotion quotidien, qui doit se montrer rassurant et fiable.

Avec ses gros pneus, ses deux suspensions, son moteur développant jusqu’à 940 W en crête (500W nominal) et son autonomie promise de près de 70 km, l’Electric Scooter 4 Ultra aurait donc tout ce qu’il faut sur le papier. Est-ce vraiment le cas ? Vérifions.

Confort et ergonomie 

Lorsqu’on s’aventure sur un segment de produit un peu plus prémium, il faut s’attendre à être jugé en conséquence. C’est pourquoi, compte tenu de son tarif de 999 €, il est évident que nos critères d’appréciation seront stricts – même si la note reste une appréciation technique. C’était déjà un peu le cas – dans une moindre mesure – avec la Xiaomi Electric Scooter 4 Pro, qui revendiquait à sa sortie une belle montée en gamme. Pour en revenir au modèle qui nous intéresse ici, il faut bien reconnaître que Xiaomi a fait des efforts et ceux-là commencent par la conception de la trottinette.

Le point le plus important n’est autre que la présence, enfin, d’un système d’amortissement sur une trottinette de la marque asiatique. Celui-ci nous faisait cruellement défaut jusqu’à présent et, même si nous allons y revenir dans le chapitre dédié à l’essai routier, l’impact sur l’agrément de conduite est considérable, comme sur le design de l’engin d’ailleurs.

En effet, Xiaomi adopte un mécanisme à double bras oscillant qui confère à cette 4 Ultra un style un peu plus racé, surtout pour le « train avant » à vrai dire. Précisons que la conception, ou plutôt la cinématique de ce mécanisme de suspension n’est pas du tout inédite. Nous l’avons éprouvé il y a bien des années déjà sur des trottinettes concurrentes, notamment de la marque Zero.

Vous remarquerez que l’intégration de la suspension est plus discrète au niveau de la roue arrière, mais l’efficacité reste bonne, malgré une amplitude de débattement qui n’est pas énorme. Attention toutefois, ni l’une ni l’autre n’offre un accès facile au remplacement du mécanisme. Ce type de suspensions oscillantes profite à la qualité de l’intégration et au design de la trottinette, mais sans doute moins à l’entretien dans le temps. Nous n’avons rien à déplorer sur notre modèle de test pour l’instant, mais nous sommes bien incapables aussi de prédire ce qu’il en sera dans quelques centaines ou milliers de kilomètres.

Ainsi, il nous faut espérer que le constructeur ait fait le nécessaire pour garantir l’entretien de ces éléments. Et, quitte à pousser un peu la réflexion un peu plus loin, certains diraient que le choix d’une telle suspension intégrée limite la possibilité de remplacer l’amortisseur lui-même par quelque chose de plus adapté à son poids ou le profil de routes pratiquées. Pour obtenir ce type de raffinement, il faudra alors se tourner vers d’autres marques.

Pour une première intégration de suspension chez Xiaomi, on ne peut pas tout avoir et puis il nous faut reconnaître que la 4 Ultra n’a pas manqué d’interpeller les piétons que nous avons croisés lors de nos sorties. Les plus curieux semblaient apprécier le style et dans l’ensemble, nous aussi, car d’autres atouts sont à relever.

Le deck gagne en espace d’accueil : il mesure 58 cm de long pour 17,5 cm de large. Nos pieds taillés en 43 adoptent facilement une très bonne position de conduite. Bonne nouvelle, lors des plus longs trajets, il est tout à fait possible de changer ses appuis si d’aventure la fatigue ou de l’inconfort se fait sentir. Nous ajouterons que si le dessin du revêtement sur le deck aurait pu lui aussi être un peu plus travaillé pour renvoyer un rendu plus premium, le grip qu’il dispense sous les pieds est très bon.

La colonne de direction n’est toujours pas réglable en hauteur. Nous avons en revanche mesuré une hauteur de 105 cm par rapport au deck, ce qui convient très bien à notre taille d’un mètre soixante-quinze. C’est d’ailleurs une hauteur de guidon supérieure à la moyenne qui, dans la plupart des cas, permet de passer au-dessus de certains obstacles imposants, de réaliser quelques slaloms. Citons les rétroviseurs de voitures lorsqu’il est nécessaire de se faufiler au milieu d’une circulation dense et à l’arrêt.

La 4 Ultra reprend peu ou prou le même mécanisme de pliage, avec une double sécurité au verrouillage comme l’exige la législation. Malheureusement, le blocage de celle-ci passe toujours par un assemblage d’un loquet présent au guidon et d’un crochet sur le garde-boue de la roue arrière.

Soit dit en passant d’ailleurs, celui-ci est particulièrement grand – on est bien protégé des éclaboussures – et robuste. Une bonne nouvelle, si d’aventure, vous êtes tenté de poser un pied dessus, il ne devrait pas céder facilement, mais ce n’est pas conseillé pour autant. Tant que nous y sommes, le garde-boue avant est, lui aussi, de bonne conception.

Le hic, c’est que cette conception fait que l’Ultra reste encombrante lorsqu’elle est pliée et la géométrie de l’engin devient un peu étrange. Une fois la colonne repliée, elle se trouve déportée vers la droite du deck (bien plus que par le passé), ce qui n’est pas très heureux lorsqu’il faut porter la chose. Cela a tendance à rendre la préhension du point d’équilibre pour la porter plus compliquée et moins confortable.

De toute façon avec un poids de 24,5 kg, cela ne sera jamais une partie de plaisir d’empoigner cette trottinette pour la porter le temps de faire quelques pas ou pire, grimper quelques marches. Nos différents trajets nous ont d’ailleurs menés sur Paris en prenant les transports en commun. Il est ainsi évident que l’Ultra n’est pas le plus discret des compagnons du quotidien dans une utilisation multimodale.

Ci-dessous, un rappel des dimensions :

  Dépliée Pliée
Largeur 55 cm 55 cm
Hauteur 126 cm 53,5 cm
Longueur 120 cm 120 cm

Un modèle pas si premium que ça ? 

Nous l’avions annoncé en préambule, proposer une trottinette électrique à 1 000 € implique de faire évoluer l’équipement en conséquence. Malheureusement, on retrouve de-ci de-là des éléments de la 4 Ultra qui ne sont pas à la hauteur de ce positionnement tarifaire. L’unique poignée de frein n’offre pas la moindre molette de réglage pour rattraper un éventuel jeu. Seule une vis de tension est disponible au niveau de la roue avant. Alors oui, cela peut suffire, d’autant que nous verrons plus loin que le frein moteur sait se montrer présent, mais vous ne pourrez pas intervenir à la volée sans vous arrêter et vous baisser.

Rien à signaler en revanche quant à la taille du levier lui-même qui est d’une bonne taille. Nous ne sommes pas fans non plus des poignées rainurées de l’Ultra. La qualité des matériaux comme la prise en main sont quelconques, voire parfois assez peu agréable. À l’approche des météos plus fraiches, l’utilisation des gants résoudra indiscutablement ce point, mais en l’état celles-ci ne sont pas à la hauteur de la montée en gamme de la trottinette.

La gâchette d’accélérateur est assez large et précise, mais il est difficile d’y voir un quelconque atout particulier : c’est classique ! Sachez par ailleurs que notre modèle de test est déjà passé entre les mains de plusieurs testeurs (vous l’aviez peut-être remarqué d’ailleurs par l’absence de certains caches de finition sur les photos plus avant) et visiblement la poignée droite s’en souvient encore.

L’occasion de signaler alors que vous pourrez toujours les remplacer dans un tel cas de figure par des poignées plus confortables que celles-ci. Car, en plastique dur et sans aucune forme ergonomique améliorant le confort et la prise en main, nous serions tentés de vous conseiller de partir sur l’acquisitions de modèles ergonomiques aux reposes-paumes plus travaillés ; ce qui aurait d’ailleurs été plus approprié à ce niveau de prix.

Enfin, Xiaomi intègre cette fois-ci son phare LED non plus à hauteur du guidon en tête de la console centrale, mais en dessous, sur la colonne de direction. Il est toujours fixe, ne propose donc aucune orientation, et son efficacité est assez sommaire. Notez toutefois que vous disposerez de bien assez de place sur le guidon pour l’équiper d’un éclairage plus performant… à vos frais.

Au guidon de la Xiaomi Electric Scooter 4 Ultra

Plus robuste dans sa conception et enfin suspendue, la Xiaomi Electric Scooter 4 Ultra sait se montrer autrement convaincante que les autres modèles de la gamme une fois sur la route. Sa certification IP55 permet de l’utiliser sous la pluie sans risque. Cela, d’autant plus que ses larges pneus (250 x 64 mm) offrent une belle bande de roulement et un profil qui permet de prendre un peu plus d’angles sans craindre un point de décrochage un peu prématuré.

Si elle est lourde, cette trottinette électrique sait tirer profit de sa bonne hauteur du guidon, de son large deck qui offre de bons appuis et de ses pneumatiques plus fiables pour rester agile dans toutes les situations (ou presque). Et, à l’inverse, elle se montre capable de filer bien droit sans jamais guidonner sur les longues portions de route, même un peu dégradées.

D’ailleurs, il nous faut préciser que grâce à tout cela, il est même possible d’envisager d’ôter une main du guidon pour indiquer qu’on s’apprête à tourner. Il faut dire que cette trottinette n’a pas été améliorée à l’avant que par la présence d’une suspension, mais aussi par l’angle de braquage du guidon. Nous l’estimons à un peu moins de 80 degrés de chaque côté, ce qui se traduit sur la route par une capacité à se faufiler assez redoutable, tant que vous prenez en considération la longueur de l’engin et un autre petit point de détail.

En effet, la hauteur du deck par rapport au sol est de 20,5 cm. Dès lors, lorsqu’il faut poser pied à terre, on a toujours l’impression de remonter une petite marche avant de repartir. D’ailleurs, cela est vrai à chaque fois que vous arrêterez à un feu rouge, un stop ou autre puisque l’Ultra redémarre à la poussette et à une vitesse supérieure à 5 km/h. Tests à l’appui, lorsque les arrêts se multiplient dans une circulation dense, cette hauteur et la réaction parfois capricieuse de la trottinette qui peine à s’élancer ne permettent pas toujours de repartir vite. On ne peut pas dire que ce comportement soit très rassurant à l’usage.

Cependant, cette hauteur importante, directement liée au choix des pneumatiques (anti-crevaison via Duragel), offre aussi à la 4 Ultra une hauteur de garde au sol confortable de 13,5 cm. C’est confortable, mais ce n’est pas une raison pour autant pour prendre le risque de quitter une piste cyclable en « sautant d’un trottoir » un peu haut. Cela permet en revanche de franchir une marche d’un seuil de porte, par exemple, sans avoir à porter toute la trottinette, mais juste en soulevant l’avant.

L’écran, que nous vous réservions pour cette partie conduite – même s’il aurait pu figurer dans l’ergonomie du produit – n’évolue pas, et c’est dommage. Là aussi, à près de 1 000 €, il faut apporter un truc en plus par rapport au reste de la gamme.

Un affichage textuel, couleur, renseignant sur la vitesse en cours, le niveau de la batterie ou encore le mode de conduite en cours. Sur ce point d’ailleurs, la bonne nouvelle, c’est que si vos trajets se passent essentiellement sur le plat, vous ne serez pas contraints d’utiliser absolument le mode S+, le mode S suffisant alors. Comprenez que dans un cas comme dans l’autre, la vitesse maximale est de 25 km/h, mais en S+ les accélérations sont un rien plus dynamiques.

Le 5 à 25 km/h s’effectue en quelque 6 s en mode S+ contre 8 s environ en mode S. Pas de quoi grimper aux arbres donc, mais cela reste une belle performance. D’autant que le moteur d’une puissance nominale de 500 W saura solliciter sa puissance en crête (940W) temporairement pour affronter les dénivelés positifs plus importants.

Ce sont d’ailleurs bien les nouvelles capacités de l’Electric Scooter 4 Ultra qui en font un modèle intéressant et agréable à rouler. Sans être un foudre de guerre, la polyvalence est enfin là et elle le reste. Cela même lorsque le niveau de la batterie baisse. Le contrôleur fait bien le job et il semblerait que Xiaomi ait choisi de bonnes cellules pour sa batterie de 561 Wh (12 Ah – 46 V).

Vous pouvez superposer ces quelques graphiques pour comprendre le comportement de la trottinette sur nos deux trajets menés la même journée sans recharger entre les deux. La première capture résume le trajet et vous informe sur la vitesse qui, attention, est relevée à l’aide d’une application lancée sur notre mobile. Il y a donc une notion de vitesse GPS à avoir en tête – les pertes de connexion étant assez rares.

La seconde capture met en lumière le dénivelé que vous pouvez corréler à l’impact sur la vitesse de la trottinette. Vous comprendrez alors que la bonne performance de la trottinette est restée stable, y compris en montée, mais aussi sur la longueur. En effet, à la fin de cet essai, nous avions parcouru environ 27 km et l’Ultra offrait le même comportement, les mêmes relances plutôt dynamiques et une vitesse de pointe bien tenue. À ce stade, il nous restait d’ailleurs qu’une seule jauge d’énergie (sur les 5).

Concernant le freinage, il faut s’en remettre à l’unique frein mécanique à l’avant et au dispositif e-ABS, autrement dit le frein moteur. Nous recommandons vraiment de ne pas négliger l’utilisation de celui-ci. En effet, nos tests ont été menés avec le frein moteur réglé à son maximum via l’application. Nous avons également fait des tests en désactivant ce dernier et l’Ultra est devenue alors beaucoup plus dangereuse. Le freinage uniquement à l’avant provoque non seulement un beau déséquilibre de la trottinette et de son utilisateur, mais surtout, il n’est pas du tout suffisant.

Par ailleurs, cela n’est pas non plus la panacée lorsque les deux systèmes de freinage sont actifs. Notre parcours de test inclut plusieurs descentes, dont une à 12 % au revêtement dégradé et notre test de freinage après être élancé à 31 km/h s’est avéré assez peu concluant. Sachez d’ailleurs qu’un bip se fait entendre lorsqu’on dépasse les 30 km/h, vous invitant alors à ralentir.

Nous n’avons pas éprouvé cette trottinette sur route mouillée, mais sur le sec, le comportement est vraiment bon. L’Ultra enroule les kilomètres, absorbe convenablement l’essentiel des défauts de la route – un peu moins à l’arrière toutefois qu’à l’avant – et on ne note aucune réaction étrange qu’on ne pourrait anticiper. Longues courges, manœuvres serrées, ronds-points… tout se passe bien, y compris dans les montées où le mode S+ permet de maintenir le rythme dans la limite des capacités techniques de la plateforme.

Nous aurions apprécié être en mesure de vous parler des fonctions disponibles dans l’application et revenir par ailleurs sur les modes de configuration du frein moteur. Malheureusement, notre modèle de test est resté associé au compte d’un précédent testeur. Nos échanges avec l’agence de presse, qui se sont limités aux recommandations de la réinitialisation de la trottinette, se sont évidemment avérés infructueux. Car oui, s’il était juste question de procéder à une réinitialisation matérielle pour en débloquer l’accès, un tel dispositif d’association serait inutile en cas de vol – ce qui ne nous permet pas ici d’y revenir plus en détail. Dommage.

Autonomie

Il va sans dire que l’autonomie de 70 km annoncée par Xiaomi n’a aucun sens, sauf si vous pesez moins de 60 kg et que vos trajets sont réalisés à 20 km/h sur une route avec un minimum de relief. Et on exagère à peine. Cependant, la batterie de 561 Wh assure une belle performance, bien loin là encore de ce que proposent habituellement les trottinettes de la marque.

L’Electric Scooter 4 Ultra affronte notre parcours de référence, dans sa version la plus longue, sans broncher et sans faiblir avant qu’il ne reste qu’une quinzaine de pour cent restant dans la batterie. À partir de là, le dynamisme est revu à la baisse.

Sur ce premier trajet, nous estimons son autonomie à 42 km environ. Une endurance qu’on retrouve sur un second trajet, avec une météo assez proche (approximativement 20° C) et une allure quasiment toujours à son maximum, avec de longues lignes droites et quelques dénivelés. Là encore, l’estimation se porte aux alentours des 40 à 45 km.

Une jolie performance donc, mais on regrette tout de même le manque de précision de la jauge de batterie. En effet, même si cette jauge compte 5 niveaux, l’estimation n’est pas très fiable et, alors qu’il ne nous reste plus qu’une seule « brique » à l’écran, le compteur affiche encore 32 % lorsqu’on branche le chargeur. Car oui, lorsqu’on connecte le chargeur, l’écran affiche le pourcentage exact de batterie pour suivre la recharge. Une recharge qui, malgré un bloc secteur 121,9 W (53 V – 2,3 A), prend plus de 6 heures. À noter qu’une bonne longueur de câble de 2,8 m permet de faciliter la charge si jamais la prise de courant est un peu éloignée.

Test Xiaomi – Bilan de l’essai 4/5

Avec l’Electric Scooter 4 Ultra Xiaomi réalise bel et bien sa meilleure trottinette électrique et d’assez loin. Mais le positionnement tarifaire n’a plus grand-chose à voir non plus. Dès lors, à 1 000 €, même si l’Ultra est endurante et gère bien sa puissance, on aimerait désormais que quelques améliorations soient apportées à ce qui se passe du côté du guidon. De meilleures poignées, plus confortables, serait une première évolution bienvenue. Idem si Xiaomi intégrait un écran plus grand, avec plus d’informations (un odomètre notamment) et un phare LED à l’avant qui soit orientable. Finalement, si la trottinette est valable, elle ne constitue pas pour autant un modèle incontournable, tant la concurrence est rude à ce niveau de prix.

NOTE GLOBALE
Confort & ergonomie
Conduite
Autonomie

 

On a aimé On a moins aimé
  • Le confort
  • Des performances constantes
  • Bonne stabilité et maniabilité
  • L’autonomie
  • Un rapport équipement prix finalement quelconque
  • L’éclairage non orientable

David Nogueira
David Nogueira

Journaliste, essayeur

A la fois curieux et passionné par la tech et les nouvelles mobilités, David aime s'attarder sur toutes les innovations qui nous facilitent la vie.

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