Dernier né de la gamme du fabricant britannique, le Gocycle G3+ autorise 80 kilomètres d’autonomie en une seule charge et intègre des fonctionnalités haut de gamme.
Fondée par un ancien ingénieur de McLaren, la marque britannique Gocycle a fait du vélo électrique urbain sa spécialité. Pliables, compacts et ultra légers, les vélos électriques du constructeur n’ont eu de cesse de se renouveler au fil des années. Après avoir lancé le GX l’an dernier, la marque annonce le lancement du G3+, un concentré d’innovation qui embarque le meilleur de Gocycle.
Basée sur un cadre composé de magnésium, la dernière création de Gocycle ne pèse que 16.4 kilos et se replie en seulement quelques secondes.
Alimenté par une batterie de 375 Wh (17 Ah – 22 V) logée dans le cadre, le Gocycle G3+ annonce une autonomie allant jusqu’à 80 kilomètres pour un temps de charge de l’ordre de 4 heures. Particulièrement discrets, les passages de câbles se font dans le cadre pour offrir à l’engin une allure très épurée.
Compatible avec les principaux accessoires de Gocycle (garde boue, feux, panier etc…), le G3+ intègre une instrumentation sur-mesure. Présentée comme inspirée de la Formule 1, celle-ci intègre le niveau de charge de la batterie, le mode de conduite, la vitesse et la position du rapport. Sur la partie cycle, le G3+ dispose également d’un rétrogradeur électronique « prédictif » qui permet de changer automatiquement de vitesse dès lors que le cycliste ralentit.
Seulement 300 exemplaires
Produit à seulement 300 exemplaires, le nouveau vélo électrique de Gocycle est décliné en six coloris : rouge, vert, jaune, blanc, noir et gris.
D’ores et déjà commercialisé par la marque, le Gocycle G3+ est proposé à un prix débutant à partir de 4499 euros sur le marché européen où ses livraisons débuteront en toute fin d’année.
Le produit est d’ores et déjà disponible sur le site officiel du constructeur et différents vendeurs partenaires américains, canadiens, britanniques et européens, au prix de 4499 euros. Sur le Vieux Continent, les livraisons débuteront d’ici la fin de l’année 2020.