Envie d’un vélo électrique sans changer de vélo ? L’étude Virvolt vous parle peut-être

Virvolt a interrogé plus de 800 personnes intéressées par l’électrification de leur vélo. Cette étude dévoile leurs motivations, les marques concernées et les profils les plus représentés dans cette pratique en plein essor.

Il n’y a pas que les vélos électriques tout prêts dans la vie. On peut aussi donner une seconde jeunesse à son bon vieux vélo en l’électrifiant. C’est justement ce que propose Virvolt, une entreprise française qui conçoit et assemble des kits de motorisation pour vélos classiques. Présente sur tout le territoire, elle équipe aussi bien des particuliers que des fabricants.

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Électrification de vélo : qui, pourquoi, comment ?

Pour mieux comprendre qui choisit d’électrifier son vélo, et pourquoi, Virvolt a analysé les réponses de plus de 800 personnes ayant manifesté un intérêt pour ses kits au cours des 12 derniers mois. L’étude s’est penchée sur leurs motivations, les marques de vélos concernées, leur lieu de résidence et le type de kit choisi.

Premier enseignement : la motivation principale reste simple. “Le fait que la réduction de l’effort soit la première motivation à électrifier son vélo montre bien que l’usage principal est utilitaire”, explique Virvolt. Il s’agit souvent de rendre les trajets quotidiens plus confortables, pour aller bosser ou faire ses courses sans arriver lessivé.

Autre enseignement : 164 marques de vélos différentes ont été citées, preuve que l’électrification concerne tout le monde. Les marques les plus représentées sont Decathlon, Peugeot, Giant et Lapierre, mais on trouve aussi bien du Gitane que du Nakamura. “L’électrification du vélo concerne autant les vélos de grande surface que les modèles plus haut de gamme”, observe la marque. Côté localisation, Paris arrive en tête, devant Toulouse et Lyon.

Enfin, les kits à moteur pédalier arrivent largement en tête, en particulier le modèle Virvolt 900, utilisé dans 50 % des projets d’électrification. Ce type de moteur est souvent choisi pour sa polyvalence et sa capacité à s’adapter aux vélos lourds. “Il permet de transformer un vélo classique en un équivalent à un VAE du commerce vendu plus de 2 000 euros”, précise Virvolt, sans forcément chercher à faire de comparaison directe.

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