Virvolt 900, un moteur français pour les vélos électriques
Le moteur Virvolt 900 est désormais entièrement assemblé au sein de la Refactory Renault de Flins, dans les Yvelines
. À destination des vélos électriques, il a par ailleurs été conçu dans un souci de réparabilité et de durabilité.Nous avons déjà parlé du moteur 900 de Virvolt, entreprise française qui siège à Paris et qui après s’être initialement lancé dans l’électrification de vélos (via des kits d’électrification) s’est diversifié en développant son propre moteur. Le Virvolt 900 a ainsi vu le jour il y a quelques mois avec une approche centrée sur la réparabilité et la durabilité.
Pour la réparabilité, le fabricant assure qu’il est possible de réparer assez simplement le moteur en cas de casse ou d’usure. Un catalogue sera proposé aux partenaires de la marque qui pourront accéder aux entrailles du moteur via un simple jeu de clés allens et de tournevis standards. La durabilité, ensuite, avec la promesse d’un système de fixation évolutif où le moteur pourra passer d’un vélo à un autre assez facilement – un professionnel du cycle sera à même de réaliser l’opération.
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Modèle pédalier, le 900 dispose par ailleurs de caractéristiques techniques de premier plan. Si ce n’est pas un poids plume avec ses 3 kg sur la balance, il développe une puissance nominale de 250 watts et un couple généreux de 80 Nm. Il peut, à la discrétion du fabricant du vélo sur lequel il est installé, proposer de 3 à 5 niveaux d’assistance. Il intègre par ailleurs un capteur de couple et un plateau de 42 dents.
Comme nous l’avons relaté dans un autre article, Virvolt s’est encanaillé avec le fabricant de vélos Jean Fourche et le fabricant de batteries Gouach pour proposer un vélo « made in France » nommé Jean Foudre. Une livrée intéressante puisque les batteries Gouach visent, elles-aussi, la réparabilité et la durabilité.
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La nouveauté du jour, c’est que le moteur Virvolt 900 est désormais entièrement assemblé en France. Cet assemblage est réalisé par Renault Group dans l’usine Refactory de Flins-sur-Seine dans les Yvelines. L’entreprise ne compte toutefois pas s’arrêter en si bon chemin et projette déjà d’utiliser à terme des composants 100 % français. Un processeur industriel long et coûteux, mais qui concorde néanmoins avec les ambitions du gouvernement français qui souhaite la production de vélos à assistance électriques 100 % français d’ici à 2030.
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Il ressemble comme 2 gouttes d’eau au tongsheng tzd-z2, maintenant c’est nous qui copions les chinois!
Voilà une très bonne nouvelle, surtout si la promesse de la réparation aisée permet au particulier de voir ensuite arriver la possibilité de se débrouiller avec l’aide d’une communauté.